Conférence de l'architecte américain Richard Gage le 27 avril 2015 à
à Bruxelles Vérité
sur le 11 septembre : IL N'A
JAMAIS ETE AUSSI IMPORTANT D'EN PARLER
Des questions
et des éléments de preuve "en béton armé"
pour vous aider à retrouver une assise solide
dans cette période de grande confusion à l'échelle internationale
Conférence
exceptionnelle à Bruxelles Richard Gage AIA (USA)
Fondateur de Architects & Engineers
for 9/11 Truth Tournée dans 20 villes européennes
Lundi
27 avril 2015 à 20h00
(Ouverture des portes à 19h30)
Centre Culturel
Woluwe-St-Pierre - Auditorium 660 places
Av. Charles Thielemans 93, 1150 Bruxelles
L’honneur perdu de l’Occident Par
Robert Fisk, 10 mai 2009 - The Independent & Contreinfo
Les massacres répétés de populations
civiles sous les bombardements de la coalition en Afghanistan
réduisent à néant toutes les prétentions morales qui sont avancées
pour justifier cette guerre. Une armée en campagne qui prend
le risque de tuer des dizaines de civils en écrasant des villages
sous les bombes pour ne pas avoir à exposer la vie de ses soldats
dans un affrontement rapproché avec les rebelles ne vaut pas
mieux que ceux qu’elle prétend combattre. Les morts du village
de Granai n’ont pas fait les gros titres. Aucune voix ne s’est
élevée ici pour poser cette question brûlante : que font la
France et la Belgique dans cette sale guerre ? L’indifférence
en ces circonstances confine à la complicité. Quelque soient
les arguments que l’on puisse avancer sur les différences entre
les règles d’engagement entre les forces américaines et européennes, après ce massacre,
ce ne sont qu’arguties. Qui pourrait, après Granai, avoir le
front d’affirmer que cette guerre est « juste » ? Qui pourrait
décemment le croire ? Sûrement pas le peuple Afghan, sans l’ombre
d’un doute. (Contreinfo)
Bien sûr, il y aura une enquête. D’ici là,
on devrait nous dire que tous les civils afghans tués avaient
été utilisés comme « boucliers humains » par les talibans, et
nous déclarerons que nous « regrettons profondément » que des
vies innocentes aient été perdues. Mais nous affirmerons également
que la faute en incombe aux terroristes et non pas aux héroïques
pilotes, aux Marines, et aux forces spéciales qui désignaient
les cibles à Bala Baluk et Ganjabad.
Quand les Américains détruisent des maisons
en Irak, il y a une enquête. Et les Israéliens, ô combien, aiment
les enquêtes (même si elles ne révèlent rien). C’est là l’histoire
du Moyen-Orient aujourd’hui. Nous sommes toujours dans notre
droit et quand ce n’est pas le cas, nous faisons (parfois) des
excuses, puis ensuite faisons porter le blâme à tous ces « terroristes
». Oui, bien sûr, tous ces coupeurs de tête et responsables d’attaques
suicides sont tout à fait prêts à massacrer des innocents.
Mais le simple fait que ce soit le si faible
Président Hamid Karzai qui apparaisse comme un symbole de grandeur
d’âme lorsqu’il a appelé hier à « un niveau de moralité plus
élevé » dans la conduite de la guerre, et dit que nous devrions
nous y comporter en « meilleurs êtres humains », montre à quel
point ce massacre a été terrible.
L’explication est fort simple, bien sûr. Nous
vivons, ils meurent. Nous ne prenons pas le risque d’exposer
nos braves petits gars sur le terrain - pas pour des civils.
Ni pour rien d’autre. Nous tirons des obus au phosphore sur Falloujah.
Nous tirons des obus de char sur Najaf. Nous savons que nous
tuons des innocents. Israël fait exactement la même chose. Et
il a également dit la même chose après que ses alliés aient massacrés
1700 civils dans les camps de réfugiés de Sabra et Chatila en
1982, et après la mort de plus d’un millier de civils au Liban
en 2006, et après la mort de plus d’un millier de Palestiniens
dans la bande de Gaza cette année.
Et si on tue en même temps des hommes en armes
- des « terroristes », bien sûr - c’est alors le même argument
habituel du « bouclier humain » qui est utilisé, avec au bout
du compte, un blâme pour les tactiques des « terroristes » .
Nos tactiques militaires sont désormais en parfaite harmonie
avec celles d’Israël.
La réalité, c’est que le droit international
interdit aux armées de tirer sauvagement sur les bâtiments où
s’entassent les civils et de bombarder sauvagement les villages
- même lorsque des forces ennemies y sont présentes - mais que
ces règles ont été jetées par dessus le bord en 1991 lors des
bombardements de l’Irak, puis en Bosnie, puis durant la guerre
que l’OTAN a mené en Serbie, puis durant la guerre d’Afghanistan
en 2001, puis durant l’aventure en Irak de 2003. Qu’elle ait
lieu, cette enquête ! Et que l’on parle des « boucliers humains
»... Terreur, terreur, et encore terreur....
Une dernière remarque : innocents ou « terroristes
», civils ou talibans, ce sont toujours les musulmans qui sont
à blâmer.
Le
piège afghan, la bombe à retardement pakistanaise Par
Chris Hedges
, 12 mai 2009, Contreinfo
Chris
Hedges a rencontré le docteur Juliette Fournot, ancienne responsable des opérations
de MSF durant la guerre afghane contre l’occupation soviétique. Mme Fournot,
qui connaît bien l’Afghanistan pour y avoir résidé durant l’adolescence, replace
le conflit actuel dans une histoire de longue durée qui fait terriblement défaut
ici. Elle rappelle que le soutien américain aux jihadistes durant la dernière
guerre, largement instrumentalisé par le Pakistan, n’a jamais eu pour objectif
d’aider l’Afghanistan et les afghans, mais uniquement d’affaiblir une union
soviétique moribonde. A l’époque, les groupes modérés et laïques
étaient ignorés par les
USA, tandis que l’Arabie Saoudite exportait ses prêcheurs fondamentalistes,
dans l’indifférence de leur allié. Si nous sommes oublieux de
ce passé récent, les
Afghans eux s’en souviennent fort bien. Quelques remarques. Les forces occidentales
ont épuisé leur crédit moral en Afghanistan. Le renforcement du corps expéditionnaire
qui affrontera l’offensive de printemps des talibans, la multiplication des attaques aériennes sur le sol pakistanais, feront
à coup sûr de nouvelles et nombreuses victimes civiles, qui renforceront la
détermination des Pachtounes à ne pas accepter de transiger, ni en Afghanistan,
ni au Pakistan.
La guerre menée en Afghanistan est une cause perdue. Mais l’enjeu désormais,
c’est la stabilité du Pakistan. En poursuivant et en étendant les opérations
militaires, le risque de voir se déclencher la « bombe à retardement » pakistanaise
est accru d’autant. Faute de prendre conscience collectivement de cette situation
- aussi désagréable soit-elle - ce constat nous échappe : avec sa crise économique
qui répand la misère dans le monde, ses spéculations sur les matières premières
et les grains, ses sanglantes aventures militaires, l’occident est objectivement
l’un des facteurs majeurs de déstabilisation de la sécurité mondiale, largement
perçu comme tel. Mais nous sommes les seuls à ne pas le voir.
David
Ray Griffin (*) : " De
nombreuses personnes (y compris les politiciens et les journalistes) se
sont fait une opinion sur le 11-Septembre et
sur le mouvement
pour
la vérité sur le 11/9, il y a déjà longtemps, quand il leur
paraissait y avoir peu de raisons de douter de l'honnêteté
de l'administration
Bush et que ce mouvement contestataire pouvait être caricaturé, sans trop d'exagération, comme une bande de gosses sur Internet.
Grâce à ces professionnels, les éléments de
preuve sont accablants : la version officielle du complot est
fausse. La seule difficulté est d'amener les gens à s'intéresser
à ces éléments de preuve. Car une fois qu'ils sont disposés à
le faire, ils s'aperçoivent vite que l'histoire officielle ne
tient tout simplement pas la route.
Enfin, le remplacement de l'administration
Bush par celle d’Obama est important à trois égards. Tout d'abord,
les éventuels “whistleblowers” (dénonciateurs d'abus) pourraient
avoir moins peur de se faire connaître. Deuxièmement, les médias
pourraient devenir plus enclins à dévoiler les dizaines de contradictions
et autres problèmes que recèle le mythe officiel. Et troisièmement,
il reste, à minima, la possibilité d'une véritable enquête. Les
deux pétitions des associations Responsables religieux pour la vérité sur le
11/9 et Dirigeants politiques
pour la vérité sur le 11/9, par exemple, se terminent en demandant
au Président Obama d'autoriser la création d’une nouvelle enquête,
véritablement indépendante. "
(*) Professeur Emérite de Philosophie de la Religion et de Théologie, co-directeur du Centre pour les Etudes de la Méthode à l'Ecole de Théologie
de Claremont, David Ray Griffin a publié 34 livres, principalement
sur le problème du mal et sur la relation entre la science
et la religion. Sept de ses ouvrages concernent le 11-Septembre,
dont 3 sont traduits en français. Quatre de ces ouvrages ont
fait l’objet d’une reconnaissance spéciale : Le Nouveau Pearl Harbor et Omissions & manipulations ont reçu le Prix de la Fondation Hélios en 2006. 11/9, La faillite des médias a obtenu la médaille de bronze dans la catégorie Actualités du Independent Publisher
Book Awards 2008. The New Pearl Harbor Revisited fut sélectionné comme l’un des 50 meilleurs livres de l’année 2008 par Publishers
Weekly et comme le « choix de la semaine » le 24 novembre 2008.
Incendie à Pekin d'un gratte-ciel similaire au WTC-7 ... sans effondrement
Le 9 février 2009, un énorme incendie a ravagé l'hôtel Mandarin Oriental en construction à Pékin.
L'incendie a fait rage pendant plus de cinq heures alors que
600 pompiers ont essayé en vain d'en venir à bout. L'ensemble
de l'immeuble de 44 étages a été envahi par les flammes en quelques
30 minutes.
La progression du feu très rapide pourrait s'expliquer par le fait que le système
de sprinklers et d'autres mesures de sécurité n'étaient pas encore
opérationnels. Le feu a été enclenché suite aux feux d'artifices
de célébration du Nouvel An chinois.
Il est remarquable que dans un monde post-11 septembre, un tel immeuble ne se
soit pas effondré !
Conférence de l'architecte américain Richard Gage du 16 novembre 2008
à Louvain-la-Neuve (UCL) "9/11
Blueprint for Truth, The Architecture of Destruction" WTC
– Analyse technique de la chute des 3 tours. Le rapport
du NIST en question.
Dans
le cadre d'une tournée européenne de 9 conférences (Londres,
Madrid, Vienne, Genève, Paris, Aachen, Bruxelles/LLN, Hambourg
et Berlin) Richard Gage, spécialiste en structures métalliques
lourdes, et président de l'association Architects & Engineers for 9/11 Truth qui regroupe aujourd'hui plus de 500 architectes et ingénieurs réclamant l'ouverture d'une enquête officielle indépendante sur les attentats
du 11/9, a présenté devant un auditoire de 200 personnes
les éléments de preuve de la démolition contrôlée explosive
des 3 tours du WTC. De nombreux bureaux d'architectes et
d'engineering avaient été contactés : 4 architectes et
22 ingénieurs étaient présents. Malgré les invitations
et les encouragements personnalisés et en dépit d'une actualité
peu chargée, aucun journaliste n'a par contre fait le déplacement.
Au
centre de la remise en cause de la thèse officielle, parmi
de nombreux éléments de preuve de démolition contrôlée explosive
(distinctes pour le WTC7 et pour les tours jumelles,) rien
ne permet d'expliquer la chute libre du bâtiment 7 plusieurs secondes durant, ni le caractère explosif en forme de champignon de la démolition des tours jumelles.
Mesure
de la vitesse du WTC7 s'effondrant.
Pendant 2,6 sec la pente (accélétation instantanée)
est proche de 9,81 m/sec² (chute libre).
Début
de "l'effondrement"
d'une des deux tours jumelles.
Le
NIST (National Institute of Standard & Technology), contrairement aux pratiques légales en matière de démolition accidentelle,
n'a PAS recherché de traces d'explosifs dans les débris des
bâtiments. Dans ce qui s'apparente à une vaste entreprise de dissimulation et de confusion du public, son rapport de milliers de pages (non soumis à comité de lecture) perd le lecteur
dans des dédales techniques sans intérêt, ne divulgue pas les
données utilisées dans ses modèles informatiques et comporte
nombre d'erreurs et d'omissions. A noter aussi que le NIST lui-même avait développé et testé, dans les années 90, en collaboration
avec le Pentagone et le Lawrence Livermore National Laboratories,
une nouvelle génération de «thermite», appelée «sol-gel nano-thermite»
(www.journalof911studies.com - Vol. 22, July 2008).
La
conférence a connu un franc succès et suscité de très nombreuses
questions. Avant la présentation, il y avait 9 participants
qui croyaient la version officielle de "l'effondrement" des 3 gratte-ciel dus au feu, et 53 qui avaient des doutes. Après la conférence,
il n'y avait plus personne qui croyait à la thèse officielle
et à peine 4 participants avaient encore des doutes. Nous regrettons que contrairement à ce que le vice-rectorat de l'université
avait prévu, aucun professeur de génie civil de l'UCL n'ait
pu se libérer pour participer au débat.
Taux
de conversion après la conférence de Richard Gage - Moyenne
européenne :
96%
de ceux qui croyaient la version officielle n’y croient plus
82%
de ceux qui avaient des doutes n’en ont plus.
Concluons
avec Richard Golay de l'association suisse Le 11 septembre en question : "Aujourd'hui, on ne peut plus ignorer qu'une importante partie de l'opinion publique
dans le monde ne croit pas ou plus dans l'explication officielle.
De récents sondages l'indiquent clairement. Cloisonnée au départ
sur Internet, la contestation s'affiche de plus en plus dans
les canaux médiatiques traditionnels. A ce mouvement global,
est souvent opposée une approche sociologique ne reposant pas sur l'analyse des faits,
mais sur des considérations subjectives, voire dogmatiques. Notre société occidentale se vante d'une approche rationnelle
de la réalité. A ce titre, elle ne peut faire l'économie d'un
débat technique et public sur les événements du 11 septembre
2001."
A ceux qui dénoncent « un usage dément du principe du doute », nous leur rappelons
les mots du philosophe des Lumières René Descartes : « Pour
examiner la vérité, il est besoin, une fois dans sa vie, de mettre toutes choses
en doute autant qu'il se peut. » (…)
Le
DVD "911:BLUEPRINT FOR TRUTH
The Architecture of Destruction" reprend
l'ensemble de la conférence de deux heures (présentation Powerpoint + vidéos)
et est disponible à la vente.
Pour le commander, veuillez verser 20 EUR (frais d'envoi Belgique compris)
sur le compte 979-3858195-25 et envoyer un mail à jlg911(at)gmail.com
660 votes : la pétition sur le site change.org aura été de courte durée
Le numéro de Newsweek
International du 28/11/08 présentait un article intitulé "President 2.0" faisant référence au www.change.org/ideas recensant les idées que les gens voudraient voir soumettre au nouveau président
américain, le site s'engageant à lui présenter le jour de l'investiture
le top 10 des idées qui auront reçu le plus de votes.
L'idée d'une nouvelle enquête sur le 11/9 figurait dans la liste : "Conduct
a new, independent investigation into the attacks of September 11, 2001 :Given the hundreds of inconsistencies and contradictions that abound in the formal
explanations provided to the world by the Bush Administration, it behooves
the Obama administration to conduct a true, unbiased, independent investigation
into what transpired on 9/11/01, which has since served as a pretext to start
wars in Afghanistan and Iraq and roll back civil liberties via the Patriot
Act." - Debora Blake (concerned, informed citizen)
Censure. A
notre regret, le 30/11/08 en fin de soirée, change.org décidait de retirer
cette idée de la liste pour non cadrage avec la politique du site, ainsi
que tous les commentaires associés. Cette idée avait pourtant obtenu 660
votes en 48 h, la plaçant en première position parmi des centaines d'autres
dans 30 catégories differentes. En réponse à cela, l'auteure de la proposition,
Debora Blake, a mis en ligne le site suivant : www.topratedbutcensored911idea.com