Le bafouément systématique de l’Article 2 du code de déontologie de la RTBF et
de la VRT nous a mis en PRISON
Dr Eric Beeth
12/09/2010
Ecoutez l'interview d'Eric Beeth sur "No lies radio" le 14/09/2010 : (en
anglais) Listen to Eric's interview on No Lies Radio on Sept. 14, 2010
(in English)
http://noliesradio.org/archives/22696
Nous avons subi hier après-midi, le 11 septembre 2010, une détention administrative
punitive de 5 heures.
Nous étions à peu près 19 personnes, dont deux
mineurs.
Nous n’avons pas étés interrogés, ce qui est dommage, car j’ai encore
une déclaration judiciaire important à faire : Nous reconnaissons
avoir écrit des communications importantes à la population à la craie
sur
le trottoir ce 11 septembre 2010, mais il n’y a eu nul endommagement
de biens publics ou privés : nos messages sont déjà effacés
avec les pluies de ce dimanche matin 12 septembre.
Il n’y a pas eu
de la
perturbation de l’ordre public. Au contraire, notre action était
entièrement pacifique, et destinée à rétablir plus d’ordre et de
paix publique, en encourageant nos médias et nos politiciens de s’informer
au sujet des lois de la physique et de la chimie qui sont bafouées
dans l’explication officielle des medias sur le 11 Septembre 2001.
Rappelons
que 650 soldats Belges se trouvent actuellement dans une zone
de guerre (loin
de nos contrées, et hors de la zone associée avec le pacte de
l'OTAN) sur base du récit erroné des événements du 11 septembre. Nos
médias continuent jusqu'à ce jour
à attribuer l’acte terroriste ignoble du 11 septembre à un
profil ethnique
et religieux, sans aucune preuve légale, alimentant ainsi
une tension ethnique et une animosité "gratuite" contre un groupe religieux, ce qui est punissable par la loi.
Si le RTBF et la VRT avaient pris leur charte d’honneur au
sérieux, et avaient suivi l’Article 2 du code de déontologie
de la RTBF
: « Chaque
citoyen a droit à une information exacte et complète et
a droit
à connaître les éléments d’information et les principaux points
de vue sur toute question d’importance. » http://ds.static.rtbf.be/article/pdf/rtbf_code-deontologie_08_2-1260802056.pdf, 19 citoyens intellectuels et concernés
(dont deux enfants) n’auraient pas du être enfermés ce 11/09/2010.
Cela fait 9 ans que la hiérarchie compétente de la RTBF et
le directeur de l’information mettent leur veto sur la possibilité
d'informer le public
sur les questions d’ordre scientifique qui invalident la version
« officielle ». Ce veto contribue à instaurer un climat
de méfiance vis-à-vis de l’autorité, et crée des tensions et
des incompréhensions
entre
des ethnies sociales et des groupes religieux au sein de notre
pays.
De plus, l’attitude de « la hiérarchie compétente de la
RTBF/VRT
et de(s)
directeur(s) de l’information » contribue à empêcher le démantèlement
du réseau criminel responsable du meurtre de sang froid de 3000
civils,
faisant plutôt porter le blâme de ce meurtre de masse ignoble sur une
certaine
ethnie et tendance religieuse, sans AUCUNE preuve légale
ou probante.
C’est à cause de cette attitude erronée de nos médias officiels,
et leur persistance à bafouer les droits « à une
information exacte
et complète et les droits de connaître les éléments d’information
et les principaux points de vue sur toute question d’importance
»
que des
policiers peu informés de Bruxelles ont trouvé incongrue
notre action informative pacifique, artistique et imaginative,
et qu’il nous ont
enfermés dans les cachots de l’Amigo près de la Grande Place
de Bruxelles, comme
si nous étions de simples "enfants" délinquants
à réprimander.
Rappelons qu’on appelle ces cachots*, construits par les
soldats occupants espagnols il y a 500 ans « l’Amigo » car
on entendait
crier « Amigo
! » chez les détenus qui se faisaient tabasser là, quand
ils essayaient de convaincre les soldats espagnols qu’ils
étaient pour l’Espagne
et les Espagnols, et non des rebelles franco-bruxellois.
[*En fait, à l’époque, les cachots ne se trouvaient
pas dans la Rue du Marché
au Charbon,
mais au coin de la rue, actuellement appelé « Rue d’Amigo
», où on a rasé les anciens cachots pour construire un
hôtel prestigieux «
Amigo » juste à temps pour l’Exposition de 1958. Au dix-huitième
siècle la « Rue d’Amigo » s’appelait officiellement la rue de la
Vrunte, c'est-à-dire « Rue de la Prison », mais les Bruxellois
l'appelaient « Rue de l’Amigo » à cause des cris sous
l’occupation espagnole, et le
jeu de mots de la proximité du mot moyen brabançon
«
Vruente »
(enclos,
prison) avec le mot Flamand/Bruxellois « vriend ». Il
appartient à l’histoire que le concierge de l’hôtel Amigo me téléphone
souvent, en tant que médecin bruxellois, et en m’appelant
par mon prénom, pour venir soigner des Princes ou des
grandes stars
qui demandent
une
aide médicale
urgente à l’hôtel. Il m’est aussi arrivé à plusieurs
reprises d’être appelé à examiner des détenus, à faire des prélèvements
de
sang
chez des personnes suspectées
d’avoir conduit un véhicule en état d’ébriété, ou de
soigner
des blessures chez des agents de police au commissariat
de Bruxelles Centre, à "l'Amigo" ou j'ai été moi même détenu hier...]
Aujourd’hui, 5 siècles plus tard, force
est de constater qu'il est encore hasardeux de dénoncer
l’occupant, responsable,
semble-t-il, des tueries de Brabant (voir opération
GLADIO, Belgique, Prof. Daniel Ganser) et les responsables des meurtres
de masse du 11
septembre, (voir www.AE911Truth.org , www.scientistsfor911truth.org et www.militaryofficersfor911truth.org ) sans toujours courrir le risque de se faire jeter
dans « l’Amigo » à Bruxelles un beau jour ensoleillé du 11
septembre 2010
avec LE
MOT et une craie pour trottoir comme seul objet
de "délinquance".
(voir photos!)
PS: Nous avons été appréhendés par la police quand
nous marchions en direction de la Musée Magritte, où nous
comptions interpeller les passants
sur le surréalisme de notre société, qui n'est pas
capable de nommer une explosion : une explosion. Voir nôtre
affiche inspirée de Magritte "Ceci
n'est pas une pipe."